Plumeacide, écritures publiques et arts énergétiques internes chinois

Chronique de Brice Couturier introduisant la seconde partie du débat

IMMIGRATION UN DEBAT OBSCURCI

La question de l’immigration est l’enjeu de tels surinvestissements idéologiques qu’il est devenu très difficile de se faire une idée précise de sa réalité démographique elle-même : les chiffres sont difficiles à trouver, les données parfois falsifiées, les discussions entre spécialistes incompréhensibles…– Comme l’écrit Christophe Guilluy, dans Fractures françaises : « Cette question reste un sujet sensible et parfois manipulé…. Comme si les pouvoirs publics estimaient que la population n’était pas encore mûre pour accepter la révolution démographique en cours. » (p. 61)  Et Michèle Tribalat parle de « l’embrigadement des sciences sociales » « contre ceux qui pensent mal ».

Or, cette idéologisation du problème rend difficile toute discussion sérieuse sur ses enjeux sociétaux : on encourt l’accusation de racisme, d’un côté, d’attentat à l’identité nationale, de l’autre. Mais cette obscurité sur les réalités et cette interdiction d’en débattre ont l’effet inverse de celui qui est souhaité : elles alimentent toute sorte de fantasmes.

C’est l’une des raisons qui ont poussé, ces derniers mois, à une radicalisation de l’opinion, mesurée par les sondages, à la poursuite de l’immigration dans les conditions actuelles.

Quelques chiffres : Enquête IPSOS « France 2013 : les nouvelles fractures ». Selon 70 % des sondés, « Il y a trop d’étrangers en France ». Et ils sont 62 % à estimer, je cite « qu’on ne se sent plus chez soi comme avant ».

Sondage IFOP pour Valeurs Actuelles ce mois-ci : « Il faut passer d’une immigration subie à une immigration choisie » 86 % le pensent ; ils n’étaient 62 % en avril 2006.

Sondage BVA pour Le Parisien, le mois dernier : 72 % des sondés sont favorables à une réforme des règles de l’immigration, mettant fin à l’acquisition automatique de la nationalité française pour les enfants nés en France de parents étrangers. 

L’autre raison, c’est bien sûr la crise économique et la remontée du chômage. Dans un pays où le nombre de personnes inscrites à Pôle Emploi atteint les 5 millions, ne devrait-on pas adapter les flux migratoires aux capacités d’accueil ? Notamment aux emplois disponibles, sachant que le nombre de chômeurs est sensiblement plus élevé chez les immigrés originaires d’Afrique et du Maghreb (23 %), que dans le reste de la population (8,5 %), selon les chiffres communiqués par le Ministère du travail, en octobre 2012) ?

Mais surtout, il y a le sentiment, justifié ou non, que le modèle d’intégration français ne fonctionne plus correctement, que notre pays est entraîné vers un modèle multiculturaliste dont la plupart des pays européens qui l’avaient adopté sont en train de revenir.

Permettez-moi de citer un extrait d’un texte d’Amartya Sen, paru il y a déjà plusieurs années : « Si, en Grande-Bretagne, une jeune femme issue d'une famille immigrée conservatrice souhaite sortir avec un jeune Anglais, elle fait un choix quasi irréprochable en termes de liberté multiculturelle. En revanche, la tentative faite par ses proches de l'en empêcher est une réaction très peu multiculturelle, car elle dénote une volonté de maintenir les cultures isolées les unes des autres sous ce que l'on pourrait appeler une forme de "monoculture plurielle". Or, de nos jours, c'est bien la position de ces parents qui semble avoir les faveurs des "multiculturalistes" zélés. L'histoire du multiculturalisme en Grande-Bretagne est très intéressante à cet égard. Après une phase positive d'intégration multiculturelle, est venue, en effet, une phase de séparatisme et de confusion ».

Cette évolution est critiquée en ce moment, sur place, par des auteurs comme Kenan Malik et David Goodhart, mais nous ne recueillons en France aucun écho de leurs idées. Et c'est fort dommage.

Car ici aussi, nous assistons à des phénomènes de ghettoïsation,  à des « stratégies d’évitement » bien décrits par Eric Maurin. Le livre de Michèle Tribalat, « Assimilation : la fin du modèle français », récemment paru, est là-dessus extrêmement bien documenté. En gros, les populations autochtones ont parfois le sentiment qu’on leur demande un effort d’ouverture et de tolérance qui n’est pas forcément payé de retour.

Et cela débouche, dans les catégories populaires, chassés de villes par la gentryfication, et des banlieues par l’ethnicisation, sur un sentiment d’abandon, analysé par Christophe Guilluy dans Fractures françaises. Il alimente un rejet du système politique dans son ensemble et la montée du vote protestataire.

Enfin, il existe désormais une concurrence entre ces « petits blancs », vivant difficilement dans le péri-urbain, des petites villes ou des villages – et les « quartiers populaires » à forte concentration immigrée. Les premiers – je cite – « se sentent exclus des grandes initiatives en matière de politique sociale, d’urbanisme et plus généralement d’aménagement du territoire – fermeture de classes, de postes de gendarmerie, d’hôpitaux, de bureaux de poste… Ils regardent avec envie les efforts entrepris pour rendre plus agréables les fameux quartiers populaires » (Tribalat : Assimilation. La fin du modèle français, p. 263) dans le cadre du plan de rénovation dit Plan Borloo. D’où le sentiment ressenti qu’on « en fait plus pour les immigrés que pour les Français », opinion partagée par 67 % des sondés par l’IFOP – et 86 % des ouvriers…

L’année 2012 fut marquée en février par la fin du contrat du salarié employé 26 heures par semaine; et le renouvellement partiel de l’équipe bénévole.

Il faut déplorer que le rapprochement avec la Mairie du 19ème arrondissement, qui avait conduit à l’attribution d’une première subvention, d’un montant de 1 500 € l’année précédente, par la Mairie de Paris, n’ait pu se conclure par une reconnaissance du projet de professionnalisation de l’association. Cette carence de soutien financier a eu pour incidences : une réduction relative des activités, l’arrêt d’un projet de développement en cours d’étude.

Aidema 19, dans le même esprit de solidarité et de convivialité que les exercices précédents, a  donc connu une évolution dans l’organisation de ses activités.

L’association s’est développée dans deux domaines :

- Les permanences d’accueil public : l’équipe d’écrivains publics a tenu 4 permanences hebdomadaires à la Maison du Combattant et des Associations et au Centre social et culturel Danube. 939 personnes (+7%) ont été accueillies, chiffre à comparer avec les 877 en 2011, et les 700 de 2010.

- Journées de Formation d’écrivains publics bénévoles : le programme sur l’ensemble de l’année a comporté 9 formations qui ont associé 70 écrivains publics qui interviennent dans au moins 8 structures du nord est parisien. Parmi celles-ci, 3 sessions ont été réalisées en partenariat avec la fédération de Paris du Secours Populaire Français.

En revanche, l’association a cessé de prendre en charge certains dossiers complexes, ainsi que le suivi des démarches des usagers et l’accompagnement de certains d’entre eux auprès de leurs interlocuteurs (avocats, conseil juridique, Tribunal…).

Nous nous étions proposé au cours de notre dernière assemblée générale de réaliser les objectifs suivants :

• La création d’un site Internet propre à AIDEMA 19. Ce site a été créé en mai 2013 ; son nom de domaine est AIDEMA 19 - Ecrivains publics du Nord-est parisien

• Le partenariat de formation des écrivains publics à la Fédération de Paris du Secours Populaire Français s’est concrétisé par la réalisation de 3 sessions ;

• La collecte de fonds auprès des entreprises et des particuliers.
  Le préalable à ces appels de fonds, complémentaires des subventions publiques,  était d’obtenir l’autorisation de délivrer des reçus fiscaux ouvrant droit à la déduction fiscale pour les donateurs. Après contestation du refus des services fiscaux et, après audition devant le Collège territorial de la Direction régionale des finances de Paris, l’association a obtenu cette autorisation en juillet 2012.
  Cependant il est apparu que l’ambition du projet de développement s’est avérée peu en adéquation avec les ressources humaines bénévoles nécessaires à sa conduite et à sa pérennisation.
• L’information et l’orientation, à la demande des usagers qui le souhaitent, vers des structures locales compétentes dans les domaines de l’apprentissage ou du perfectionnement du français écrit et parlé (Atelier Sociolinguistique, Français Langue Etrangère…). Même si elle s’effectue à partir d’Internet, et de la brochure de la Ville de Paris, cette information supposait, pour une information mieux corrélée avec la nature des demandes, une prise de contact avec les structures ad hoc.

La contribution appréciable des dons émanant des usagers et des bénévoles, qui s’était élevée à plus de 1 000 € en 2011 (au lieu de 181 € en 2010), a été portée à 1 644 €. Dans le même temps, le nombre des adhésions - dont le montant reste fixé à la somme symbolique de 1 € - s’est s’établi à 54, au lieu des 66 membres actifs réunissant usagers et bénévoles en 2011.

Le retour à un fonctionnement fondé sur le bénévolat n’a pas posé de difficultés particulières, et semble en adéquation avec les attentes et les disponibilités de l’équipe. Je propose en conséquence, de reconduire les actions en cours (permanences d’accueil et formations), tout en lançant un appel aux énergies disponibles pour animer la relation avec les usagers et l’atelier d’initiation à l’Internet. Ou toutes autres initiatives de nature à dynamiser les relations de solidarité au sein d’AIDEMA19.

Je souhaite également, après presque dix années d’activité intense, en qualité de Vice-président, de Président et de salarié, passer le relais de la présidence d’AIDEMA 19.

Le Président

Xavier Péron

1. Information sur les activités :
   
   - Permanences, atelier Internet, Mon Dimanche au Musée…
   - L’équipe des bénévoles

- Point sur les Journées de Formation d’écrivains publics 

- Création du site Internet d’AIDEMA 19 - Ecrivains publics du Nord-est parisien

2. Rapport Financier :
   
   - Validation des nouvelles adhésions et des dons
   - Bilan prévisionnel de l’exercice 2012
   - Etat de la trésorerie
   - Situation des demandes de subventions 
   - Budget Prévisionnel 2013,

- Information sur la demande d’autorisation de délivrer des reçus fiscaux (annexe 2)

3. Réflexion sur la pérennisation des activités de l’association en 2013 :

- L’accompagnement de Passerelles et Compétences - Reconduction en 2013 de la convention avec la fédération de Paris du Secours Populaire Français (SPF75)

4. Projet pour 2014
    
5. Annexe

- Annexe 1/ Fiche de présentation des bénévoles 2012-13

- Annexe 2/ Délibération du Collège du 29 juin 2012 de la Direction régionale des finances publiques de l’Ile-de-France

- Annexe 3 / Extrait de la Feuille de route d’Isabelle Girardot (Passerelles & Compétences)
 

1 - Information sur les activités :

Fréquentation des permanences :

939 personnes ont été reçues sur les deux sites : 589 personnes à la Maison des associations, 350  au  Centre social et culturel Danube où Anne-Marie Hervé s’est intégrée à AIDEMA 19 en cours d’année.

L’atelier Internet :

7 séances d’initiation pour 3 usagers ont été réalisées au cours du premier semestre à l’Espace Numérique de Réseau 2000 (Atelier des Réseaux).

Christophe Leclerc a pris le relais d’Anne-Violaine Bouilloud après son départ à Marseille, et a effectué quelques séances.

L’activité de l’atelier est actuellement suspendue, Christophe ayant quitté à son tour l’association pour des raisons professionnelles.

Mon Dimanche au Musée

Les sorties ont été suspendues en 2012. Pour mémoire 52 personnes avaient fréquenté cette sortie du premier dimanche du mois dans les musées (entrée gratuite) et au pique-nique.

Sandrine Quevillon (membre du Bureau) se propose d’en reprendre l’organisation à partir de novembre 2013.

Les bénévoles

La liste des bénévoles en activité dans le cadre des permanences en 2012 est jointe en annexe (Annexe 1)

Signalons au passage qu‘en 2013 nous avons eu le plaisir d’accueillir Catherine Montagna, Marie-Véronique Charles (Site Maison des associations), Anne-Marie Hervé (Site Centre social et culturel Danube) ;  Michèle Bergougnoux devrait nous rejoindre en décembre à la Maison des Associations.

Journées de Formation d’écrivains publics bénévoles (saison III -  2012/2013)

5 rencontres ont réuni 54 bénévoles.

Dans le cadre de la convention de formation, trois séances se sont tenues à la Fédération de Paris du Secours Populaire Français – SPF75 -, qui ont réuni 16 stagiaires les 12 juin, 4 septembre et 13 novembre.

Ainsi à la fin de l’exercice 2012, l’association aura organisé 9 formations pour 70 écrivains publics qui interviennent dans au moins 8 structures du nord est parisien*.

* Maison du Combattant et des associations (AIDEMA 19) – Centre social et culturel Danube (AIDEMA 19) - Centre socioculturel Belleville – Centre social Le Picoulet – Point d’Accès aux Droits du 19^ème arrondissement (Association La Plume Bénévole) – Aubervilliers - Palaiseau – SPF 75

Création du site Internet de l’association

Le site Plumeacide a atteint au cours de l’année 2012, 115 0342 visiteurs uniques pour 184 294 pages vues.

Animé par le Président il est représentatif de sa philosophie personnelle, et il était nécessaire que l’Association dispose d’un outil de son propre support de communication.

Conformément aux objectifs fixés, un blog a été créé en mai 2012 sur la plate-forme blogspot : AIDEMA 19 - Ecrivains publics du Nord-est parisien (http://aidema19paris.blogspot.fr/)

2 – Rapport financier :
 

Validation des nouvelles adhésions et des dons

Entre le 1 janvier et le 31 décembre, 54 adhésions à 1 € ont été enregistrées, pour un total de 1 644 €.

Compte de résultat de l’exercice 2012, état de la trésorerie

Au 31 décembre le compte bancaire était créditeur de 379,92 € auquel s’est ajouté le paiement le 19 février 2013 de la facture de 300 € des formations dispensées au SPF75 (3 sessions x 100 €).

Après ajustement du budget prévisionnel (6 700 €), le réalisé en fin à la clôture de l’exercice est  inférieur (5 837,88 €). Et le résultat est excédentaire (2 592,64 €)

Les demandes de subventions

• DRJSCS : le dossier a été adressé dans les délais impartis mais à une mauvaise adresse. La direction régionale n’a pas eu connaissance de notre dossier qui n’a pas été transmis par le service destinataire. Par ailleurs, nous avons appris ultérieurement que le Fond de Développement de la Vie Associative a été transféré de l’Etat au Conseil Régional d’Ile-de-France qui alloue les subventions sur appels à projets.

• Mairie de Paris : notre dossier Développer la qualité des prestations des écrivains publics bénévoles et pérenniser les activités a été orientée vers le(s) service(s) instructeur(s) de la Ville de Paris le 26/12/2011 : Madame Olga TROSTIANSKY, Adjointe au Maire chargée de la Solidarité, de la Famille et de la Lutte contre l'Exclusion à la Direction de l'Action Sociale, de l'Enfance et de la Santé - Ss/dir Insertion et Solidarité Bureau de l’insertion et de la lutte contre les exclusions.

Aucune suite n’y a été donnée.

Il en est de même de notre dossier déposé fin octobre 2012 pour l’exercice 2013 toujours signalé sur le site SIMPA comme étant « en cours d’instruction ». Il faut noter qu’il est incomplet puisque notre assemblée générale se tient le 1 décembre.

Budget Prévisionnel 2013

Le budget prévisionnel tenait compte des démarches entreprises dans le cadre du DLA (Dispositif Local d’Accompagnement) avec Isabelle Girardot sélectionnée en juin par Passerelles&Compétences.

Il s’inscrivait dans une perspective de développement qui n’a finalement pu être mise en œuvre.

Dépenses

Les postes nouveaux étaient :

• Loyer annuel d'un local d'environ 30m²                             10 020 €
• Aménagement                                                                  3 327,00 €
• Salarié à temps plein au SMIC                                      19 575,00 €

Soit un total de 32 922 €

Les autres postes étaient la reconduction à l’identique ou réévaluées des charges constatées lors des exercices précédents : Achats, Fournitures d’activité, Assurance, Missions et réceptions, Services bancaires, Services externes (Passerelles&Compétences…), Publicité et communication (dossiers d’appels aux dons publics et privés),

Le poste Frais postaux et téléphone tenaient compte du coût de l’abonnement à un poste fixe.

Recettes

Prestations de service : 4 formations au Secours Populaire Français (1 session par trimestre)

DRJSCS : 1000 €

Ville de Paris : dossier déposé (5 000 €)

Subventions privées : Appels aux dons (DLA)

Il est à noter que Solidarités Nouvelles face au Chômage finance des Emplois de Développement.

Information sur la demande d’autorisation de délivrer des reçus fiscaux (annexe 2/1 et 2)
 

AIDEMA 19 a été reconnue d’intérêt général dans le courrier du 16 juillet 2012 de la Direction régionale des Finances publiques d’Ile-de-France et du département de Paris.

« L’activité prépondérante de l’association qui consiste à aider gratuitement les personnes dans les démarches administratives et leur fournir des écrivains publics pour la rédaction de leurs courriers et leurs formulaires présente un caractère social et philanthropique.

Dans ces conditions, et sous réserve que cette activité demeure L’activité prépondérante de l’association et soit exercée conformément à ses statuts, cette dernière pourra être éligible au dispositif du mécénat (…) à condition que les dons soient et demeurent affectés à cette seule activité ».

3 - Réflexion sur la pérennisation des activités de l’association 
 

L’accompagnement de Passerelles et Compétences

 Extrait du Procès-verbal du Bureau du 13 juin 2012 :

 « Le 2 mai, la rencontre avec les représentants de Passerelles & Compétences a permis de lancer une seconde offre d’accompagnement. Une nouvelle bénévole a été sélectionnée que l’association a rencontrée la 27 juin.

Cette personne ne s’estimant pas compétente pour le ciblage des entreprises, mais pour le montage de dossier après identification des entreprises, un terrain d'entente a été trouvé. 

Nous sommes convenus de travailler en direction des organismes sociaux (cibles) pour lesquels nous traitons de nombreux dossiers.

Il nous semble donc pertinent, avant de rechercher des entreprises qui relèvent d'une stratégie plus large, de commencer par poursuivre notre ancrage local et de renforcer notre visibilité en direction des services de notre secteur.

Nous pensons notamment aux aides financières que nous pouvons solliciter auprès de la CAF, de CPAM ou de la CNAV par exemples... »

Une nouvelle Feuille de route a été établie (annexe3/).

Un travail de classement des démarches réalisées a long de l’année 2011 a permis d’identifier les cibles des appels aux dons en fonction de la nature et de la quantité de démarches réalisées, puis de prendre contact avec les services publics concernés (CPAM, MDPH, CAF, Paris Habitat et la Caisse des Dépôts et Consignations dans les jours qui viennent).

Des contacts  - non pertinents - ont également été pris avec la CRCPCN et la Caisse de Retraite des Notaires.

La CPAM n’accorde aucun soutien financier, la MDPH est injoignable. Seuls la CAF et Paris Habitat ont indiqué la possibilité d’adresser des dossiers aux directions.

Un dossier-type a été rédigé par Isabelle Girardot, dont le contenu a été adapté à chacun de ces deux organismes. Le montant sollicité est laissé à leur appréciation.

Les deux dossiers ont été envoyés le 30 novembre.

Ils n’ont pas fait l’objet de décisions favorables au soutien de notre activité.

Reconduction en 2013 de la convention avec la fédération de Paris du Secours Populaire Français (SPF75)

1 réunion d’élaboration de programme et 2 sessions de formation ont été animées en 2012 (voir supra) au siège de la fédération de Paris du SPF (« L’entretien avec l’usager » et « Rédiger vite et bien » le 4 septembre ; « Médiateurs et conciliateurs » le 13 novembre).

La convention a été renouvelée en 2013.

L’objectif pour 2013 était de poursuivre ces interventions en élaborant un programme comportant une session par trimestre. La rencontre du Mardi 5 février 2013 portait sur « L’état du logement social en France et le Droit Au Logement Opposable ».

8 bénévoles du SPF75 (su 16 stagiaires), ont assisté à la session du 23 mars de la Saison de formation des écrivains publics d’AIDEMA 19, qui s’est tenue au siège du Secours Populaire (« Orienter les usagers »).

L’élaboration du programme de formations au SPF est suspendue temporairement par manque de participants.

De nouvelles propositions peuvent toutefois être adressées ; notamment celles de la Saison IV.

3 – Projet pour 2014

L’apport des adhérents – bénévoles, usagers et  donateurs  - ayant permis à AIDEMA 19 de couvrir ses frais de fonctionnement, le principe retenu est de reconduire le mode de fonctionnement de 2013 fondé sur le bénévolat, avec les évolutions suivantes:

• Le non renouvellement du dépôt de dossiers de demandes de subventions et d’appels à projets ;
• La perspective d’une reprise de l’organisation des sorties Mon Dimanche au Musée.
• Le renouvellement de la convention avec le SPF 75 en fonction de la demande de formation.

• Une nouvelle ligne de 3 sessions de formation dédiée aux débutants, intitulée Pied à l’étrier, portant le total des propositions à 10 séances au cours de la Saison IV :

• 3 sessions  « Pied à l’étrier »
• 6 sessions  « Routards »
• 1 atelier « Démarches électroniques » 

Annexe 1/

L’équipe bénévole 2012-2013

BUREAU

• Xavier Péron – écrivain public,  Président
   
• Alain Dellery – écrivain public,  Vice-Président
   
• Colette Diane – écrivain public, Trésorière
   
• Sandrine Quevillon  – Secrétaire
   

ECRIVAINS PUBLICS

Site de la Maison des du Combattant et des Associations

• Colette Diane – Assistante de direction dans la presse écrite nationale
   
• Marie Christine Cordoin - écrivain public diplômée de la Sorbonne Nouvelle, stagiaire au sein d’AIDEMA19 en 2010-2011
   
• Gérard Poch - juriste, étudiant dans le cadre du Diplôme Universitaire Ecrivain public/Auteur Conseil de l’université de Toulon
   
• Christophe Leclerc - Diplômé de Paris XIII, Master2 Professionnel Dynamiques Culturelles -Politiques, Espaces, Pratiques - et Circulation des Savoirs - Diplômé de Caen, Master1 Psychologie
   
• Alain Dellery – Directeur territorial à la Région Ile-de-France (retraité)
   
• Jean-Baptiste Mouton – Attaché d’administration centrale au Ministère de l’Intérieur
   
• Elsa Lafage – Assistante sociale en structure d’hébergement et d’insertion sociale
   
• Chantal Thibault – Educatrice de la PJJ (retraitée)
   
• Xavier Péron – Directeur territorial (retraité)

Site du centre social et culturel Danube

• Sylvie THOIREY – écrivain public diplômée du CNED (retraitée)

ATELIER INTERNET

• Christophe Leclerc
   

CONSEIL

Droit et fiscalité

• Rita Bizarro – étudiante en droit Master 2

Social et santé

• Catherine Lehoux - Assistante sociale dans un centre médico social - Doctorante

FORMATION

• Xavier Péron - responsable des Journées de formation des écrivains publics bénévoles, formateur des écrivains publics de la Fédération de Paris du Secours Populaire Français (SPF75)

Les AMIES d’AIDEMA19 : ils sont partis pour d’autres missions pour revenir peut-être un jour ?

• Amadou Ba - écrivain public, Membre Fondateur d’AIDEMA 19
   
• Anne Pineau - écrivain public
   
• Pauline Lasserre - écrivain public
   
• Sophie Cartier Bresson - écrivain public
   
• Yannick Bert – assistante sociale