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12 janvier 2010 2 12 /01 /janvier /2010 18:00


Poursuite vers le nord sur les sites de Kalambou. Après le déjeuner, transfert au pied du plateau des Ajjer à Tafalalet, où nous avons rendez-vous avec l’équipe touarègue et leurs ânes.



Que du caillou ! Voir le montage de la page 4 de











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11 janvier 2010 1 11 /01 /janvier /2010 18:00



Tout ici se mélange… La surprise est totale ! Nous poursuivons vers les labyrinthes insensés d'Adaïk et terminons à Tisras (paysage de forêt de pierres et de sable) : vue panoramique sur le plateau du tassili et sur le pic Tiska, à 100 km au sud !


Regarder le montage dispos du Jour 3 de ce site :


Tout 1 Monde

 


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10 janvier 2010 7 10 /01 /janvier /2010 18:00

 



Et cela continue ! Des tours, des cathédrales, du sable blond, roux… Sommes-nous sur la planète Mars ? Bivouac à Timras.

 


"Le Tassili n’Ajjer est vraiment un coin somptueux, l’un des plus beaux endroits de notre planète à mon avis, et dont je reste toujours étonné qu’il ne soit pas plus médiatisé : peut-être parce que les Américains ne s’y rendent pas ? Un tassili, selon un terme géographique arabe, désigne des reliefs de grès caractéristiques que l’on peut rencontrer dans plusieurs secteurs du Sahara (Algérie, Libye, Tchad, Mauritanie…). Ces reliefs, sculptés par l’érosion éolienne, ne sont la plupart du temps pas très élevés (quelques dizaines de mètres tout au plus) mais sont en général constitués de formations rocheuses complexes et escarpées, souvent très spectaculaires et toujours magnifiques. Parfois les dunes viennent se mêler à ces formations, rendant les vues encore plus somptueuses. Très souvent aussi, on trouve dans ces tassilis des restes de gravures ou de fresques préhistoriques, remontant à une époque où le Sahara était beaucoup moins sec et où l’on pouvait y rencontrer la faune de la savane africaine. Parmi les tassilis du Sahara, le Tassili n’Ajjer est sans conteste l’un des plus exceptionnels, tant par son étendue, la complexité et la diversité des formations rocheuses (de véritables labyrinthes naturels dont seuls les autochtones connaissent les détours !), et également par la quantité et la qualité des fresques qu’on peut y trouver, sans égales nulle part ailleurs au Sahara. À l’attrait de cette région on peut ajouter son relatif isolement, le relief ainsi que la proximité de la frontière libyenne rendant impossibles les visites en 4 × 4, préservant les sites du tourisme de masse."


Extrait du site d'Olivier Morice

 

 

 

Pour entretenir votre soif de désert, je  vous suggère vivement de regarder le montage dispos du Jour 2 de ce site :


Tout 1 Monde

 


En visitant un jour une ville innondée sur les bords de la Loire, le Marêchal Mac Mahon, Président de la République, avait répondu aux journalistes qui l'interrogeaient : "Que d'eau, que d'eau !"

 

Pour le paraphraser je dirais volontiers : "Que de sable, que de sable !"

 


 

 

           01390.jpg

 


Je suis très impressionné et ça me donne à réfléchir.


Sur la solitude par exemple.

 

 

Au début de la décennie 2000, au cours de ma longue période de chômage, je souffrais de ces journées au cours desquelles je ne pouvais parler à personne.


Un jour j’ai décidé de prendre rendez-vous avec un psychiatre pour trouver une solution satisfaisante pour faire disparaître ces sentiments de dépression et d’anxiété qui m’envahissait.


Pendant quelques mois,  j’ai rencontré une demi-heure par semaine un vieux psychiatre d’origine égyptienne, qui s’est mis un jour à me parler des enfants qu’il recevait dans son cabinet. C’était une demi-heure de plaisir hebdomadaire. Un ballon d’oxygène.


 

Aujourd’hui, la solitude est devenue une nécessité et une source de joie de vivre.


 

Tout le temps que je ne consacre pas au tai chi chuan, aux activités ménagères, à mes activités associatives et mes permanences d’écrivain public, est dédié à la lecture, à la réflexion et à l’écriture.


 

Cette solitude, et son compagnon le silence, sont un moyen essentiel de m’extraire du bruit du monde pour me ressourcer, et vivre une vie dense à mon rythme – lentement, lentement comme une marche dans le désert.


 

C’est une grande liberté de pouvoir jouir du temps à son gré.


 

Notre mode de vie occidental ne nous donne plus le temps d’avoir le droit d’être avec nous-mêmes ;  et nos besoins  grégaires semblent tenir de l’addiction.


 

Et quand je reviens dans le monde tumultueux des hommes, je préfère écouter que parler.

 

 

« Vous parlez lorsque vous cessez d’être en paix

avec vos pensées ;

 

 

Et lorsque que vous ne pouvez demeurer dans

La solitude votre CŒUR, vous existez

Sur vos lèvres dont le son est une diversion

Et un passe-temps.

 

Et dans la plupart de vos conversations,

La pensée se trouve massacrée.

Car la pensée est un oiseau de l’espace qui,

Mis dans une cage de mots, peut à la rigueur

Déployer ses ailes mais ne peut voler.

 

 

Il en est parmi vous qui recherchent le bavardage

Par peur d’être seuls.

Le silence de la solitude révèle

 à leurs yeux la nudité de leur moi,

qu’ils voudraient fuir.

 

Et il y a ceux qui parlent et, sans rien savoir

Ni préméditer, ils révèlent une vérité qu’ils ne

Peuvent eux-mêmes comprendre. Et il y a ceux

Qui portent la vérité en eux-mêmes, mais qui

Ne la disent pas en mots.

Dans la poitrine de ceux-là l’esprit habite

Et rythme le silence.

 

 

Le Prophète

 Khalil Gibran

  La parole

 

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Qui Suis-Je ?

  • : Plumeacide, écritures publiques et arts énergétiques internes chinois
  • : Plumeacide est une histoire de fraternité républicaine avec celles et ceux qui s'embrouillent avec les chiffres et les lettres. Au fil des années il est devenu aussi la mémoire visuelle de ma pratique des arts énergétiques internes.
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Plumeacide poursuit doucement mais sûrement son voyage dans la blogosphère, et va vers sa deuxième millionième page visitée ! Mââgique !
 
  
2 objectifs et 10 règles pour l'écrivain public (vidéo 3'30)

 

 
 
Bonne visite et à bientôt
espère-je !
 
 

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Albert Einstein

Le Film de l'immigration

  25839 71896

Un film de 40 minutes pour deux siècles d’immigration en France. 

 

Source :

Cité nationale de l'histoire de l'immigration