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26 mars 2010 5 26 /03 /mars /2010 18:00

 

 



Point besoin d'adhérer au Parti Communiste ou d'être marxiste pour comprendre et décrypter le monde dans lequel nous vivons.


Il suffit de constater l'évolution de notre société au fil des décennies vers l'individualisme et les contraintes du monde du travail qui corrodent les fraternités de proximité.


Effritement des relations de voisinage en milieu urbain, éloignement des amitiés de travail engendrées par la mobilité professionnelle, relations familiales épisodiques, réduction de la durée de vie des couples, conduites suicidaires, autodestructrices et dépressions, incivisme et vandalisme, agressivité et petite délinquance,  dénigrement de la politique, vie civique marquée par l'abstentionisme (élections européennes, élections régionales)...La liste est longue de nos fragilités relationnelles et des contingences de nos rapports sociaux.


La vie économique structure l'individu, accapare de plus en plus son énergie. Elle infléchit sa conduite pour qu'il se conforme aux modèles de consommaton induits par la publicité, les médias, ses groupes d'appartenance  (famile, amis, collègues, loisirs...) et ceux vers lesquels il aspire (groupe de référence). Elle l'écartèle en créant la frustration de ce qu'il ne parvient pas ou plus à possèder.


Le monde dans lequel nous vivons enferme l'individu dans la solitude de son devenir. Il nous contraint à bâtir notre projet professionnel, à nous autoévaluer, à accroître par nous-mêmes nos performances. En nous donnant plus d'autonomie, il nous a convaincu que nous sommes libres et nous nous sommes emparés de cette responsabilité comme un cadeau désintéressé qui nous aurait été offert.


Nous sommes enjoints à devenir l'autoentrepreneur de notre vie. Et à assumer seul les conséquences de nos choix car tout a été mis en oeuvre pour nous convaincre que "la solution à notre problème est en nous".



Nous y avons cru.


Corollairement nous avons intériorisé -inconsciemment- que puisque la solution est en nous, "nous sommes aussi LE problème".


Alors chaque chômeur s'est senti entièrement responsable et coupable de sa situation, et cherche en lui-même de nouvelles ressources pour accomplir son destin individuel. Un destin individuel, libéral, libéré de l'empreinte de l'entreprise et de la pression des managers qui rêvent eux aussi de créer leur propre entreprise.


Tandis que, dans le même temps, les ressources et les canaux de retours  ou de maintien dans l'emploi continuent de se resserrer au fil des difficultés économiques et des restrictions des crédits publics (racisme, discriminations, harcèlements...). Et que de nouveaux ennemis sont désignés à la vindicte des dedans d'aujourd'hui (dehors de demain) : délinquants, étrangers, femmes, chômeurs...


La période du mandat présidentiel actuel s'est ouverte sur une volonté affirmée d'une gouvernance des comportements. Le slogan "travailler plus pour gagner plus" est la caricature de cette injonction gouvernementale à changer nos conduites. Les projets orwelliens de multiplication de la vidésurveillance, d'intrusion pour raison d'Etat sur l'Internet représentent au-delà des objectifs  rationnels qui les justifient, des arsenaux de contrôle des populations.


Le désarroi de certains usagers de nos permanences d'écrivains publics atteste de cette course éperdue vers la solution de problèmes qui ne sont pas de leur ressort : contrats de travail de courte durée, diminution ou suppresson d'aides sociales non ou mal justifiées, insuffisance du nombre des logements...Les conséquences de la "culture" néolibérale qui s'est déployée de manière affichée depuis les années 80 aux USA  puis en Europe, conduisent les pauvres dans le cercle infernal de l'obligation d'espoir dans la désespérance.

 
A cette «rationalité» néolibérale, qui est "une façon d’amener les sujets à agir sur le mode de la concurrence " en faisant "en sorte que les individus cherchent à maximiser leur intérêt au détriment de toute considération éthique", je réagis en apportant une pierre à  la construction d'une société fraternelle et solidaire.

 

En commençant par bâtir une micro société d'amitié, d'entraide, de coopération entre les plus pauvres qui vivent à côté de moi.

 

Un réseau de compréhensoin mutuelle.

 

A présent, nous sommes plusieurs. Et s'ils m'aident nous serons nombreux.

 

Car ils ont l'énergie de l'espoir quand le néolibéralisme nous impose l'énergie du désespoir.
Plume Solidaire


 


Archives de LIBERATION

Le 19 février 2009
Comment fabriquer un individu néolibéral
Interview

Concurrence. Rencontre avec Pierre Dardot et Christian Laval, auteurs de «la Nouvelle Raison du monde».

 

Par ERIC AESCHIMANN

Pierre Dardot et Christian Laval La nouvelle raison du monde, essai sur la société néolibérale La Découverte, 498 pp., 26 euros.

Pierre Dardot est philosophe, spécialiste de Marx et de Hegel. Christian Laval est sociologue, chercheur à Paris-X Nanterre. Il y a deux ans, avec El Mouhoub Mouhoud, ils avaient publié Sauver Marx ?, une critique minutieuse et acérée de l’interprétation du néocapitalisme selon Toni Negri. D’ampleur plus vaste, la Nouvelle Raison du monde propose une lecture du néolibéralisme inspirée par Foucault. «Il faut désormais, à gauche, cesser de penser que nous savons à quoi nous avons affaire quand nous parlons de "libéralisme" ou de "néolibéralisme", y écrivent-ils. Le prêt-à-penser "antilibéral", par ses raccourcis et ses approximations, nous a fait perdre trop de temps.»

 

Rencontre.

Le néolibéralisme, affirmez-vous, «avant d’être une idéologie ou une politique économique, est d’abord et fondamentalement une rationalité». Qu’est-ce qu’une «rationalité» ?

Pierre Dardot : Foucault définit la rationalité gouvernementale comme une logique normative présidant à l’activité de gouverner, au sens de gouverner les hommes directement, mais aussi de façon indirecte : de les amener à se conduire d’une certaine façon. La rationalité n’est pas l’exercice d’une contrainte, d’une oppression. A cet égard, le néolibéralisme ne saurait être réduit au seul domaine de la politique économique (les privatisations, la dérégulation), ni à un corpus doctrinal identifié (Friedman, Hayek), ni aux dirigeants qui s’y sont convertis à la fin des années 70 (Reagan, Thatcher). La rationalité néolibérale que nous étudions a une portée plus vaste et a pu être mise en œuvre par des gouvernements se réclamant de la gauche.

Qu’est-ce qui définit la «rationalité» néolibérale ?

Christian Laval : Sa façon d’amener les sujets à agir sur le mode de la concurrence. Par exemple, à propos de l’éducation : le néolibéralisme va s’employer à faire en sorte que les individus cherchent à maximiser leur intérêt au détriment de toute considération éthique. L’actuelle réorganisation de l’université repose tout entière sur la logique normative selon laquelle les comportements des individus, des laboratoires et des facultés doivent obéir exclusivement au principe de la concurrence. Foucault a montré que les premiers théoriciens libéraux, notamment Smith et Ferguson, à la fin du XVIIIe siècle, pensaient le marché selon une logique de l’équivalence : on échange un bien contre un autre bien et chacun en bénéficie. Le néolibéralisme, lui, repense le marché selon la logique de la concurrence, donc de l’inégalité.

De quand date ce tournant ?

P.D. : Dès la fin du XIXe siècle, chez le philosophe anglais Spencer, qui propose d’étendre Darwin et son concept de «sélection naturelle» à d’autres champs, notamment sociaux. Spencer opère une naturalisation du social : pour lui, une même loi universelle d’évolution, donnant des avantages à ceux qui sont les plus aptes, s’applique à toutes les sociétés humaines. Les néolibéraux n’aiment guère qu’on leur parle de Spencer, à cause de son biologisme. Pourtant, c’est bien chez lui qu’ils ont trouvé l’idée que le marché, c’est la concurrence. Mais, là où Spencer y voyait un mécanisme naturel, eux ont estimé que c’était un système à construire, requérant une intervention active et continue de l’Etat. C’est notamment le point de vue des «ordolibéraux» allemands.

C.L. : Lorsque le libéralisme entre en crise, à la fin du XIXe, deux courants apparaissent : un libéralisme justifiant l’intervention de l’Etat dans une optique stabilisatrice et redistributrice, dont la figure la plus fameuse sera John Maynard Keynes ; et le «néolibéralisme», qui, dès les années 30, proposera de faire du marché concurrentiel le nec plus ultra de la vie économique et sociale - avec la participation active de l’Etat. Certes, le keynesianisme triomphe après guerre. Mais le néolibéralisme n’a pas désarmé : les «ordolibéraux» allemands ont eu une influence déterminante sur la construction européenne, à commencer par le Traité de Rome lorsqu’il fixe le principe d’une «concurrence libre et non faussée». Cessons de voir le néolibéralisme comme une vague venue des pays anglo-saxons : il faut porter au jour cette filiation européenne.

Comment le néolibéralisme s’impose-t-il comme «rationalité» ?

P.D. : Il n’y a pas eu de plan secret visant à promouvoir le modèle néolibéral. Celui-ci a profité de la crise du keynesianisme, comme ce dernier avait profité de la crise du capitalisme dans les années 20 et 30. Rien n’indiquait que le principe de la concurrence prendrait la relève comme nouvelle norme mondiale. Sa codification ne date d’ailleurs que de la fin des années 80, avec ce que l’on appelle le «consensus de Washington», qui fixe les normes monétaires et budgétaires imposées aux pays en échange de l’aide du FMI.

C.L. : Le terme clé est celui de discipline. Au milieu des années 70, les experts internationaux dressent un constat alarmiste. «La situation est ingouvernable, disent-ils en substance, il y a un manque de discipline sociale.» C’est l’époque où Raymond Barre plaide pour la discipline monétaire et budgétaire. Mais aussi le moment où apparaît la fabrique du «sujet néolibéral», avec la mise en concurrence des individus, les techniques d’évaluation, l’encouragement à l’endettement privé, l’incitation à se transformer en un capital humain. L’individu est entrepreneur de lui-même, se soucie d’accumuler, de réussir, est responsable, donc coupable de son éventuel échec - tous ces points sont devenus les nouveaux symptômes individuels et sociaux auxquels sont confrontés psychanalystes et sociologues.

Le sujet néolibéral prend pour une liberté ce qui ne serait que concurrence. Pourtant, ne jouit-il pas d’une autonomie enviable par rapport aux normes en vigueur il y a cinquante ans ?
 

C.L. : Nous refusons tout retour à l’ordre moral. Nous voudrions plutôt déplacer la question. En voulant rendre le sujet performant à tout prix et en tout domaine, le néolibéralisme pose comme règle paradoxale un principe d’illimitation. Mais cette illimitation masque qu’il existe, dans la réalité, une limite au désir, fixée par le capital et l’entreprise. L’illimitation promise par le néolibéralisme n’a rien à voir avec l’autonomie, tout comme la «gestion mentale des affects», dont parlent les manuels de management, ne saurait prétendre à être une «maîtrise de soi». Il ne faut pas voir dans le sujet néolibéral un être libéré de toutes ses chaînes. C’est l’erreur commune des conservateurs et des adeptes de la «modernité». Ce que nous désignons comme le «dispositif de performance-jouissance» est un système qui agit de l’intérieur du sujet mais n’en reste pas moins un mode de discipline sociale.

 

Peut-il exister un jour une «gouvernementalité», une «rationalité» de gauche ?

P.D. : Foucault remarquait que, lorsqu’elle était au pouvoir, la gauche adoptait soit un mode de gouvernement ou une gouvernementalité libérale, soit une gouvernementalité administrative et bureaucratique. Il faut sortir de cette alternative. Une gouvernementalité de gauche devra partir du principe que le bien commun est une affaire commune. Et ceci pas seulement au sens de mécanismes formels de prise de décision, mais aussi de pratiques vivantes, où l’on met en commun, où l’on coopère. Dans le champ de la connaissance ou dans celui de l’environnement, la logique du commun est très forte et informe directement certaines pratiques sociales : c’est cela qu’il faut développer. Il faut réinterroger le communisme, non pas en partant de l’objectif d’une société idéale, mais en partant des pratiques communes déjà existantes. Au XVIIIe, «communiste» voulait dire partisan du bien commun.

 

 


Pierre Dardot et Christian Laval

La Découverte, Paris, 2009, 498 pages, 26 euros

 

 Site : Le Monde Diplomatique

D’une grande érudition, ce livre est une invitation pressante à pousser la critique théorique et sociale de l’ordre actuel au-delà des analyses les plus courantes. Les auteurs récusent l’idée que le néolibéralisme se définirait principalement par le retrait de l’Etat, de sorte qu’on pourrait en annoncer la fin. En conclusion d’une analyse portant notamment sur les débats théoriques des cercles conservateurs dans les années 1930, puis les années 1950 et 1960, ils définissent le néolibéralisme « comme l’ensemble des discours, des pratiques, des dispositifs qui déterminent un nouveau mode de gouvernement des hommes selon le principe universel de la concurrence ».

Pour les principaux théoriciens du néolibéralisme, il ne s’agit pas tant de poser le marché comme une donnée qui limiterait l’action de l’Etat que de fixer aux gouvernements « l’objectif de construire le marché afin de faire de l’entreprise le modèle du gouvernement des sujets ». Ainsi le contenu classique de la démocratie a été fortement érodé, sinon vidé de sens. A lire les passages où ils suggèrent que la concurrence est en passe de « devenir la norme universelle des conduites et ne laisse intacte aucune sphère de l’existence humaine, individuelle ou collective », on est tenté en revanche de penser que les auteurs croient le combat perdu. Mais, en toute fin du livre, ils évoquent les forces de résistance et les pratiques qui pourraient permettre l’émergence d’une « autre raison du monde », dont le travail coopératif et l’assistance mutuelle fourniraient certains des traits.

François Chesnais.

 

 

 

 

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13 mars 2010 6 13 /03 /mars /2010 18:00




Avec Jean Ferrat c'est encore un poète des années 60 qui casse sa pipe.


Des créateurs de chansons qui savaient écrire leurs textes (auteur), créer la mélodie et l'accompagnement musical (compositeur); chanter avec une diction qui permettaient de comprendre les paroles, et des qualités d'expression vocales (timbre, puissance) et un talent d'interprétation (interprète) qui leur conféraient le caractère d'artistes complets.


Qui reste en scène ?



S'il vous plait Monsieur Aznavour, attendez encore, ne partez pas s'il vous plait.


J'ai dit

Plume Solidaire



  • 17 mars : Hommage à Jean Ferrat sur evene.fr
  • 17 mars : archives de l'Humanité
  • 14 mars 2010 : le journal L'Humanité fait paraître aujourd'hui un Cahier spécial de 12 pages à 1,30 €






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21 février 2010 7 21 /02 /février /2010 18:00
Mireille Delmas Marty - "Liberté et sûreté dans un monde dangereux"


Elle nous rappelle l'importance de l'enjeu de la notion de "dangerosité", dans la loi du 28 février 2008: loi relative à  la rétention de sûreté, inspirée par une loi allemande de 1933.

Madame Mireille Delmas franchement "c'est pas personne" et c'est beaucoup plus que quelqu'un !

C'est une très grande dame à l'intelligence
claire, lumineuse et à la diction ferme et nette.

Dans ce bouquin, je crois qu'on pourrait dire qu'elle est très lucide et même un peu visionnaire.

C'est comme ça que je sens ce qu'elle écrit là-dedans, comme ça aussi que je l'ai entendue dans l'émission ce matin là dans "Les Matins". Je me pose simplement une question : est-ce qu'elle a de l'humour ?

Parce que si en plus elle est drôle, alors là je la demande en mariage à son père dès demain, matin.

Epouser une dame qui va peut-être être nommée au Conseil Constitutionnel, drôle de fantasme.

(Mise à jour le 22 mars : perdu, elle n'a pas été désignée par le Président de la République, les présidents des deux assemblées parlementaires. Pas assez compétente en droit; ou peut-être pas assez politique peut-être ?)

Bon c'est le week-end, je peux lâcher un peu non ?

 

 

Enfin, voilà une dame qui nous décrit et nous analyse ce que Alain Gérard Slama n'hésite pas à qualifier dans sa chronique de l'émission de "ravages de plus en plus totalitaires de la conception de la sécurité."

Et pour défendre les libertés, rien de tel qu'un libéral.

D'ailleurs n'est-ce pas aux libéraux que nous devons la conquête de nos libertés ?


J'ai dit

Plume Solidaire

 

 

 

Seuil, 18/02/2010 ISBN 9782021005363

 

 

Le monde est dangereux. Aujourd’hui, à l’heure du terrorisme, des effets conjugués de la pauvreté, de la maladie et des guerres civiles, les États doivent faire face à de nouveaux défis : une menace pour l’un d’entre eux est une menace pour tous. Si les dangers ont existé de tout temps en tous lieux, les attentats du 11 Septembre en ont sans doute changé la perception. Si bien que les responsables politiques se trouvent libérés, symboliquement et juridiquement, de l’obligation de respecter les limites propres à l’état de droit. Dès lors, l’enchevêtrement des espaces normatifs (nationaux, européens et mondiaux) induit des mouvements d’autant moins contrôlables qu’ils échappent de plus en plus aux États.

 

Ce livre explore cette nouvelle donne et l’incertitude des réponses face aux dangers bien réels que courent les personnes, les États, voire la planète tout entière. Au-delà, il s’interroge sur les voies qui s’ouvrent à nous : sociétés de la peur ou communauté de destin ?

 

Mireille Delmas-Marty est titulaire de la chaire « Études juridiques comparatives et internationalisation du droit » au Collège de France et membre de l’Institut. Elle est notamment l’auteur de Le Flou du droit (PUF, 1986, rééd. 2004), Pour un droit commun (Seuil, 1994), Trois défis pour un droit mondial (Seuil, 1998) et Les Forces imaginantes du droit (3 vol., Seuil, 2004, 2006, 2007).


Quel est la vraie nature des dangers qui nous menacent ?
Vivons-nous dans un monde plus dangereux qu’hier ?
Ou alors, au nom de la sécurité, n’est-on pas en train de construire une société de contrôle ?

 

 

 

 

 

 

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Qui Suis-Je ?

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Le Film de l'immigration

  25839 71896

Un film de 40 minutes pour deux siècles d’immigration en France. 

 

Source :

Cité nationale de l'histoire de l'immigration