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1 mars 2011 2 01 /03 /mars /2011 08:00

 

 

 

 

 

 

Ma femme est d’origine vietnamienne, ma dernière petite fille a la double nationalité française et canadienne.  L’un de mes oncles était  autrichien, et juif , les parents du  mari de ma cousine étaient russes de Lettonie (Riga), et parmi leurs enfants certains ont épousé respectivement une norvégienne et une américaine. Un autre cousin a épousé une belge.

 

L'une de mes nièces vient d'épouser un jeune marocain à Agadir, une autre vient de quitter son compagnon chypriote grec à Chypre où elle est installée, et son frère convole en région parisienne avec une jeune chinoise.


J’ai un beau frère qui est japonais – Salut Kay ! -, et la moitié de mes belles sœurs et mon autre beau frère sont américains. Parmi les enfants de nos amis, l’une vit avec un turc à Hong Kong, la seconde à Tel Aviv avec un israélien, et le troisième aux dernières nouvelles quelque part en Australie.


La meilleure amie de ma fille est coréenne – 3ème dan de kendo -, un couple de leurs amis réunit une chilienne et un français. Parmi les excellents amis de mon fils, il y a Hichem de parents marocains – DEA de mathématiques – qui s’est expatrié pour mettre ses compétences au service d'une entreprise de la City de Londres avant de s’installer à Genève, en partie parce que tous ses camarades d’origine française et nantis du même diplôme avait trouvé du travail à Paris ou en France.


L’un de mes meilleurs amis est sénégalais et marié à une chinoise, une autre est française de couleur, de souche et de racine – comme moi qui  je suis né d’une mère poitevine et d’un père breton – et son mec est allemand.

 

Et alors ça vous gène ?


J’ai dit


Plumes Solidaire

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commentaires

D
<br /> <br /> Voici un joli poème aborigène australien à diffuser, à mon humble avis :<br /> "Quand je suis né, j'étais noir<br /> Quand j'ai grandi, j'étais noir<br /> Quand je vais au soleil, je suis noir<br /> Quand j'ai peur, je suis noir<br /> Quand je suis malade, je suis toujours noir<br /> et quand je mourrai je serai toujours noir!<br /> Tandis que toi, homme blanc<br /> Quand tu es né, tu étais rose<br /> Quand tu as grandi, tu étais blanc<br /> Quand tu vas au soleil, tu es rouge<br /> Quand tu as froid, tu es bleu<br /> Quand tu as peur, tu es jaune<br /> Quand tu es malade, tu est vert<br /> Et quand tu mourras, tu sera gris.<br /> Et après ça, tu as le toupet de m'appeler<br /> <br /> homme de couleur!!!"<br /> <br /> <br /> <br />
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P
<br /> <br /> A Montréal j'ai vu au Marché Tenon des sacs carottes de toutes les couleurs.<br /> <br /> <br /> Et les Québèquois les mangent sans se poser de question !<br /> <br /> <br /> Et sans les trier par couleur !<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> <br />
D
<br /> <br /> j'avais sincèrement la sensation que plus les technologies de communication augmentaient, plus nous aurions la possibilité de nous ouvrir aux autres, d'échanger, de voyager sur les autoroutes du<br /> net pour s'ouvrir aux cultures diffférentes, pour permettre de réfléchir au-delà de son chez soi, d'avoir envie de s'enrichir outre-soi!!! Et j'ai hélas la désagréable sensation qu'il se produit<br /> exactement le contraire, qu'on ne communique qu'entre-soi, replié sur son portable, la tête baissée sur son portable, les oreilles bouchées par les écouteurs, comment voulez-vous captez le<br /> moindre regard ou tenter de parler ou d'échanger! Personne ne vous voit et ne vous entend! Quelle moderne régression!!!<br /> <br /> <br /> <br />
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D
<br /> <br /> Bon sang, mais quand allez-vous vous rendre compte de la richesse des rencontres de cultures différentes, de cette chance de cette mixité à proximité qui nous fait avancer les uns et les autres.<br /> Pour qui se prend-on pour croire que nous détenons la vérité sur la pensée, sur le meilleur!!! Ecouter, regarder, échanger, se nourrir de tout ceux qui nous entourent qui n'attendent que ça, et<br /> vice-versa. Tout est dans le regard et non la méfiance que l'on se porte l'un à l'autre. Chaque jour, d'où nous sommes, nous avons la chance de voyager, ouvrir les yeux et s'écouter. Il suffit de<br /> le vouloir et d'arrêter de penser qu'en face de soi, la différence est forcément liée à un ennemi. C'est pourtant pas compliqué bon sang!!!<br /> <br /> <br /> Diane<br /> <br /> <br /> <br />
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P
<br /> <br /> Ah ba ça c'est une belle colère, car il y a de saines et indispensables colères.<br /> <br /> <br /> Ne décolèrons jamais devant l'indifférence, la peur, et la haine de l'étranger.<br /> <br /> <br /> Hé oui la conséquence de la libre circulation des marchés c'est la libre circulation des hommes et des femmes qui ont vocation à se rencontrer !<br /> <br /> <br /> C'est la libre circulation de l'amour.<br /> <br /> <br /> Et l'amour se moque des nationalismes, du racisme, et de la peur.<br /> <br /> <br /> L'amour n'a pas de frontière.<br /> <br /> <br /> <br />

Qui Suis-Je ?

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  • : Plumeacide est une histoire de fraternité républicaine avec celles et ceux qui s'embrouillent avec les chiffres et les lettres. Au fil des années il est devenu aussi la mémoire visuelle de ma pratique des arts énergétiques internes.
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Plumeacide poursuit doucement mais sûrement son voyage dans la blogosphère, et va vers sa deuxième millionième page visitée ! Mââgique !
 
  
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Bonne visite et à bientôt
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Le Film de l'immigration

  25839 71896

Un film de 40 minutes pour deux siècles d’immigration en France. 

 

Source :

Cité nationale de l'histoire de l'immigration