Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
16 juillet 2011 6 16 /07 /juillet /2011 17:00

 

Par Saint Confucius ! C'est elle.

 

Et en plus la démonstration filmée se tient devant le Musée de l'Air dans le parc de Belleville; dans mon quartier; là où très précisément je vais seul comme une âme joyeuse, faire mon taichi et recouvrer la Suprême Harmonie.

 

Oui c'est bien elle; elle était venue me rappeler sèchement la règle de ne pas filmer les candidats qui se présentaient aux épreuves de l'ATT1, 1er degré du Diplôme de Moniteur de tai chi (2 ème dan). Elle avait fondu sur moi du fond du gymnase  tel un Dragon furieux et avait exigé avec une autorité qui n'autorisait aucune justification, que je supprime le fichier sous ses yeux de mon appareil photo.

 

C'était en novembre dernier, aux épreuves nationales de la Fédération Française de Wushu

 

Je résolus fermement, mais un peu tard, que la prochaine fois que je déciderai d'enfreindre une règle intangible, j'utiliserai une méthode plus subtile  pour échapper au regard des Cerbères. Une caméra dissimulée dans le bouton supérieur de ma veste de tai chi peut-être ?

 

Qu'avais je filmé ? Quel était l'objet du délit ?

 

Le passage de l'épreuve de l'épée d'un camarade de mon école, dans le but d' apprendre la dernière partie du Tao (enchaînement) que les instructeurs de mon club semblent avoir manifestement oubliée, ou tarder à nous transmettre...

 

A la fin de l'épreuve, notre camarade a bien voulu accepter que je filme en extéreur devant l'entrée du gymnase, la séquence qui me manque.

 

C'est dans la boîte.

 

Et le Dragon n'y a vu que du feu !

 

Et si je décide un jour de passer à mon tour les épreuves du 2ème dan, j'espère me présenter devant un jury présidé par le Dragon de Belleville; qui se demandera : mais où donc ai-je vu cette personne ?

 

Et qu'elle ne se rappellera de moi qu'après la décion du jury de m'attribuer le grade.

 

Et,et,et, et si elle m'a oublié, j'irai lui dévoiler mon identité !

 

C'est ça aussi l'art de la guerre.

 

Faut savoir planter les banderilles sur le dos de la bête, avant de donner l'estocade.

 

Que Lao Tseu tombe de son buffle si je mens.

 

J'ai dit

 

Plume Solidaire

 

 

 

 

Commentaire de mon ami Jean Louis / MaîtreChang Liu, envoyé depuis son monastère proche de la rue des Martyres

 

 

C'est marrant ce que tu as écrit sur ton blogue. Si elle savait, elle ne serait pas contente. Elle ne faisait qu'appliquer les règlements. De plus, ce qui m'a fait rire, c'est que tu t'es trompé de personne. Ce n'est pas elle, la directrice. Celle qui t'a perturbé l'esprit, elle est plus jeune. D'ailleurs, quand je suis allé au sein de la Fédé pour l'inscription, elle m'a reçu dans son bureau. Le fait que j'ai dépassé la date limite et la secrétaire m'a dit d'aller lui demander.

 

Le passé est comme un rêve, le futur est incertain mais le présent est sûr et réel. 

 

Je pensais que tu avais  déjà complètement oublié cet événement rigolo . C'est

rigolo quand la faute vient de nous mais  moins, quand on est accusé à tort.

 

Bon dimanche

 

Master Chang Liu 

 

Partager cet article
Repost0

commentaires

Qui Suis-Je ?

  • : Plumeacide, écritures publiques et arts énergétiques internes chinois
  • : Plumeacide est une histoire de fraternité républicaine avec celles et ceux qui s'embrouillent avec les chiffres et les lettres. Au fil des années il est devenu aussi la mémoire visuelle de ma pratique des arts énergétiques internes.
  • Contact

Allo, y a quelqu'un là ?

 
Plumeacide poursuit doucement mais sûrement son voyage dans la blogosphère, et va vers sa deuxième millionième page visitée ! Mââgique !
 
  
2 objectifs et 10 règles pour l'écrivain public (vidéo 3'30)

 

 
 
Bonne visite et à bientôt
espère-je !
 
 

Pourquoi me bouge je ?

Le monde n'est pas
difficile à vivre à cause
de ceux qui font le mal,
mais à cause de ceux
qui regardent
et laissent faire

Albert Einstein

Le Film de l'immigration

  25839 71896

Un film de 40 minutes pour deux siècles d’immigration en France. 

 

Source :

Cité nationale de l'histoire de l'immigration